Entrainement du 6 Janvier 2013
Entrainement de ce jour. Départ groupé 9h00 de la halle. On reste ensemble jusqu'à la sortie de Lacroix-Falgarde. De Pins Justaret à l'entrée de Muret, travail de relais en file indienne sur la plaque. Le dernier doit fournir son effort, et se positionner en tête du groupe (petit sprint) . Lorsque celui-ci est aux avant poste, le dernier doit à son tour effectuer son effort et ainsi de suite. La traversée de Muret se fera sans prendre de risque 
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On recommence le travail de relais d'Ox jusqu'à Mauzac .
La bosse de Mauzac se montera tranquille petit plateau.
On reprend le travail de relais aprés la bosse jusqu'à Lagardelle . Attention au carrefour de Beaumont / Lèze
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On récupère les groupes entre Lagardelle et Labarthe / Lèze . Les premiers devront donc ralentir .
Les bosses de Clermont et de Rebigue se monteront petit plateau avec du rythme .
Puis on ralenti jusqu'à Castanet en moulinant .
6 janvier 2013, on aura le temps de profiter des beaux jours avant d’être en Décembre.
A dimanche.
Bruno.
Excellente sortie ce dimanche malgré une météo tristounette. 3 groupes pour les exercices de sprints, proposés par Jean-Mi, entre Roquette et Lagardelle, cela se structure de mieux en mieux: c’est un entraînement à la fois ludique et intelligent qui permet de progresser en évitant de rouler sans fil conducteur. C’est la période idéale pour le faire.
Bonne semaine, à dimanche prochain.
Hivernale du 5 janvier ; p’tit Pierre
On voulait montrer à Jean Michel Massat et Bernard Peytavi un visage flatteur de l’hivernale basé sur les qualités des participants, cela va sans dire, mais aussi sur la cohésion du groupe. Il faut reconnaître que sur ce dernier point le coup est raté.
Tout avait pourtant bien commencé, au marché de Baziege. On croise par hasard les « costauds du mardi » Alcide (Donneville) , René Marcato (qu’on ne présente plus), Mario (Escalquens) méconnaissables en pépères déambulant.
L’ambiance est bonne Jean Michel et Bernard ouvre la route, derrière nous les suivons en essayant de sourire, Jean Paul à mis le haut parleur, Marcel va de mieux en mieux, Rolland se réserve pour les bosses a venir, Pierre est dans un bon jour, Joël pense à Bareigne . Démarrage donc sans anicroche jusqu’au premier accro où perdu dans mes pensées… je me trompe de route à un endroit où même un japonais ne se serait pas trompé. Bernard m’appelle sur mon téléphone et me remet sur le droit chemin.
Deuxième accro à Revel où l’on oublie Pierre dans les toilettes du café. Quand on s’est rendu compte qu’il n’était pas avec nous on s’est affolé, on a imaginé le pire mettez-vous à notre place on nous le confie ; on le perd !
Non ! Ne vous inquiétez pas dis Joël, je suis sûr qu’il nous attend au café en jouant avec la cafetière (?).
Confiant, nous rebroussons chemin avec Jean Michel en pensant trouver le p’tit Pierre sur les genoux de la serveuse mais il était parti sans nous attendre. En réalité il est monté, tout seul comme un grand, à St Ferréol pour redescendre sur Vaudreuille en se remémorant des indications que Valérien avait laissées sur le net alors que nous, nous avons filé directement sur Vaudreuille par le bas. On ne le reverra plus (1). On lui avait pourtant dit de ne pas écouter n’importe qui, mais ce garçon, on peut le comprendre, est encore jeune mais dès qu’il sera en âge de prendre la retraite il va falloir que ça change.
Après Bareigne, c’est au tour de Marcel(2) de nous quitter. Il préfère rentrer seul à son rythme. Vient ensuite Roland, Jean Paul en bon samaritain reste avec lui. Sous l’impulsion de Jean Michel et Bernard et un Joël impérial nous rentrons dare-dare par la piste avec pour objectif d’être de retour avant le match de rugby. Objectif largement atteint.
Merci à tous, à Bernard et Jean Michel que nous espérons revoir dans des circonstances plus favorables.
(1) Pierre nous a adresse un mail pour nous dire que pendant que nous nous étions dans l’angoisse de sa disparition il se tapait un steak-frites. Sympa !
(2) Marcel est rentré à temps pour voir le match…mais s’est endormi sur le canapé. Ce n’est pas payé ! Y’a pas de justice !
Guy Amat